Le grand public connaît bien votre carrière. Ce qu’il connaît un peu moins, ce sont vos origines bretonnes. Pouvez-vous en dire plus ?
Alain Chamfort. Une grande partie de ma famille, notamment du côté paternel, – mais aussi un peu du côté maternel – est d’origine bretonne. En résumé, les trois quarts de mes parents sont bretons. Précisément, mon père est né près de Pontivy, dans le Morbihan, une région très agricole. D’où mon nom d’origine d’ailleurs, Le Govic.
Au sujet de mon pseudonyme, pour être tout à fait honnête, je me suis laissé entraîner par Claude François qui estimait que mon patronyme sonnait trop breton. Mes origines étaient trop visibles et il avait peur que cela me catalogue en tant que chanteur breton. Je ne connaissais pas Nicolas de Chamfort (poète, journaliste et moraliste français, ndlr) quand il me l’a proposé, mais je trouvais qu’il y avait un petit côté romantique du 18e siècle.

La couverture du dernier album d’Alain Chamfort ©DR
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