« La moule est, selon moi, la protéine la plus durable. » Axel Brière, mytiliculteur de père en fils, dirigeant de Mussella, à Pénestin, connaît bien son sujet. « L’empreinte carbone de la moule est de 300 g pour 1 kg de produit fini. La mytiliculture est l’une des dernières industries françaises tenue principalement par 300 familles. Et une bouchot se vend 2,5 fois plus cher grâce à l’appellation européenne spécialité traditionnelle garantie (STG)… On coche toutes les cases. »
Axel Brière voit cependant une ombre au…