Quels sont les avantages de l’investissement locatif ?
Outre le fait d’être un investissement à la portée de tous et l’un des plus sûrs du marché, l’investissement locatif comporte de nombreux avantages. Il permet de se constituer, avec ou sans apport financier, au moyen de loyers versés par un locataire, un patrimoine sur le long terme, de percevoir des revenus complémentaires, d’envisager un habitat futur adapté, ou encore de l’attribuer à ses proches.
Ce type de placement permet de percevoir des revenus fonciers, mais aussi d’atténuer votre facture fiscale. À ce titre, l’État a mis en place plusieurs dispositifs de défiscalisation. Parmi eux, on peut citer les lois Pinel, Denormandie, le statut de loueur en meublé professionnel (LMP) ou du loueur en meublé non professionnel (LMNP).
Chaque dispositif locatif immobilier permet de tirer certains avantages fiscaux, moyennant le respect de plusieurs conditions liées à la typologie de logement (ancien, neuf, rénové), la localisation du bien loué, la durée de l’engagement de location, le plafonnement des loyers ou encore le niveau de revenus des locataires.
Comment bien choisir son logement locatif ?
Le choix du bien est fondamental pour assurer la rentabilité de votre investissement. L’emplacement du bien (bassin d’emploi, proximité des services…) est à cet égard aussi important que sa configuration : Il doit être adapté à la demande réelle dans la zone. Il est donc nécessaire de conduire préalablement une analyse du marché locatif afin de se renseigner sur la demande, sa nature (étudiante, professionnelle, touristique…) et sur le prix des loyers pratiqués dans le secteur.
68 % des français privilégieraient l’immobilier pour investir devant l’assurance-vie, l’épargne sécurisée et les marchés financiers. Source : Crédit Foncier, 2018
Si vous hésitez entre un studio et un T3, sachez que les petites surfaces sont généralement louées plus cher au m2 que les grandes. Enfin, pour une bonne estimation de la rentabilité́ du bien, il convient, avant l’achat, d’analyser et d’inclure les coûts annexes, tels que :
- Les travaux d’entretien et de réparation du bien (indispensables pour éviter les difficultés à louer ou les litiges avec les locataires en place),
- Les travaux sur parties communes (façades, ascenseurs…),
- Le…