La montée en Fédérale 2 implique des déplacements plus longs, notamment en Île-de-France, ainsi que des frais de transport et d’hébergement conséquents pour 50 personnes par match. « Notre budget était de 365 000 euros. Nous avons besoin de 100 000 euros de plus pour absorber ces charges. C’est un défi mais nous sommes sur une bonne trajectoire », explique Olivier Boissou, qui a rejoint le club en 2020 et en a pris la présidence il y a un peu moins de deux ans.
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Les joueurs, tous bénévoles, ne perçoivent aucun salaire fixe. « Nous sommes un des rares clubs de notre niveau dans ce cas. » Les rugbymen jonglent entre leurs études ou leurs emplois. Une prime ou des indemnités kilométriques peuvent leur être versées occasionnellement.
Olivier Boissou, président du Pays Auray Rugby Club (PARC) depuis bientôt deux ans ©PARC / Nature&Picture
« Notre budget était de 365 000 euros. Nous avons besoin de 100 000 euros de plus. »
Un modèle économique en trois piliers
Pour financer ses ambi…
