Adélaïde regroupe plusieurs entités de courtage en assurances, dont Verlingue, société créée par votre famille à Quimper il y a 90 ans. Quelles sont aujourd’hui les activités du groupe ?
Benjamin Verlingue. Verlingue a été créé autour du métier de la protection patrimoniale des entreprises et des collaborateurs. Nous assumons le conseil – comprendre et évaluer les risques de l’entreprise – puis la négociation de la meilleure couverture possible avec les compagnies d’assurances ou par des montages plus complexes. Nous suivons aussi le quotidien : sinistres, décès d’un collaborateur, projets d’investissement, acquisitions…
Nous avons ensuite diversifié nos missions vers les régimes de santé et de prévoyance (Génération), l’assurance santé individuelle (Cocoon) et une agence spécialisée dans le secteur de la construction (Dune). Des entreprises distinctes, avec des modèles différents, qui contribuent ensemble à la force du groupe. Adélaïde compte environ 3 000 collaborateurs et réalise les trois quarts de son chiffre d’affaires en France, mais la part de l’international est en croissance. Aujourd’hui, nous nous plaçons à peu près à la 15e place en Europe, et dans le top 50 au niveau mondial.
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Vous avez pris la présidence d’Adélaïde en juin 2024, à la suite de votre père Jacques Verling…