« Cette contractualisation vise l’innovation sociale, afin que celle-ci ait les moyens et les capacités à répondre à des besoins et nouveaux défis » présente en préambule Anne Patault, vice-présidente de la Région à l’innovation sociale et à la vie associative. « L’innovation demande du temps; ce n’est pas tout de suite dans un modèle économique, il faut accompagner ces porteurs de projets en phase de démarrage. »
« Il n’y a pas que l’innovation technique, la crise liée au Covid-19 a montré les enjeux sociétaux importants, il faut poursuivre ces mutations », Martin Meyrier, vice-président de la Région à l’économie, à l’innovation, à l’artisanat et aux TPE.
Les projets éligibles peuvent ainsi proposer une solution innovante, dans divers domaines : le vieillissement, l’environnement, la mobilité, la petite enfance, la santé, la lutte contre la pauvreté, les discriminations, l’alimentation, le logement… Des projets répondant à des besoins sociaux et sociétaux encore non ou mal satisfaits.
« Les projets émanent des territoires, il y a un fort dynamisme en Bretagne sur ces sujets de l’action sociale et de l’ESS. Ce sera un dispositif financier en proximité, via le maillage territorial des Pays en Bretagne. »
La Bretagne est la première Région à contractualiser avec l’État et Bpifrance cet ap…