« Nous notons une accélération de la baisse des volumes », entame Me Nicolas Bosquet. Le recul de ventes est essentiellement dû à l’étau des conditions d’octroi des crédits immobiliers, qui exclut de nombreux primo-accédants, à la flambée des taux d’intérêt et à la baisse du pouvoir d’achat.
La baisse des volumes vendus avoisine les 40% pour les logements neufs et 23,4% pour l’ancien. Toutefois, « il ne faut pas être alarmistes. Nous comparons à 2022 qui était une année extraordinaire. Nous revenons à des niveaux qui sont ceux connus avant la crise sanitaire. Le marché n’est pas à l’arrêt, beaucoup de gens cherchent à se loger. Le recadrage passera par le réajustement des prix. Ce sont les vendeurs qui vont décider. »
Le recadrage du marc…