Le tour de table est mené par le fonds de capital-risque dédié au New space européen, Expansion, et par le fond suédois Rymdkapital, avec un complément apporté par des investisseurs individuels. « Avec cette injection de capital, nous serons en mesure d’accélérer le développement de notre technologie de propulsion spatiale, ouvrant la voie à des applications inédites, comme le transport interplanétaire et le nettoyage des débris orbitaux », déclare Matthieu Cavellier, directeur général d’OsmosX, qui compte douze salariés.
OsmosX veut se positionner comme fournisseur du « dernier kilomètre spatial », et sur les voyages intraplanétaires, avec une solution de propulsion au long cours permettant, entre autres, de ramener le temps de voyage vers Mars à 30 ou 40 jours. Charles Beigbeder, cofondateur d’Expansion, qualifie le projet de « potentiellement révolutionnaire ».