Il y a deux ans, le duo décide de se lancer dans la création d’une marque de vêtement, mais pas n’importe comment. Elle doit correspondre à leurs valeurs, s’inscrire dans une économie circulaire soucieuse de la planète. Elle s’appellera Later car « À force de dire plus tard, c’est maintenant plus tard… » souligne Benjamin. « On veut cultiver un hédonisme raisonné », précise Benoit.
Durabilité, intemporalité… la surchemise est choisie comme vêtement phare de la marque « on est parti sur un mono produit, qui se prête bien dans sa fabrication aux matières recyclées. Et puis c’est une pièce indémodable qui peut se porter avec un pull en hiver comme avec un t-shirt en été. » Aujourd’hui, sweats et vestes sont venus enrichir le vestiaire.
Le « moins et mieux » est la seule option raisonnable pour cette industrie.
100 000 tonnes de vêtements sont jetées chaque année en France
Les vêtements proposés par Later sont fabriqués uniquement à partir de fibres issues de textiles usagés. Et avec 100 000 tonnes de vêtements jetés chaque année en France, il y a de quoi faire. D’au- tant que les procédés de recyclage textile ne cessent de s’amélio…