
Amélie Grassi ©DR
Amélie Grassi, skipper de La Boulangère Bio/Class40
« Nous sommes 7 femmes sur 138 marins, c’est beaucoup trop peu ! »
« Je réalise petit à petit que je serai sur la ligne de départ le 6 novembre. C’est ma première Route du Rhum, je suis impressionnée par l’exercice et en même temps j’ai hâte de me lancer. Avec le projet de la Boulangère Bio et du Temps pour soi, je veux porter le message que les femmes peuvent se réaliser dans leurs objectifs sportifs, dans leurs aventures. Sur cette édition nous sommes 7 femmes sur 138 marins, c’est beaucoup trop peu ! J’espère susciter des vocations. Pour une course au large, il faut de l’endurance physique bien sûr, mais ce n’est pas la puissante physique pour manœuvrer le bateau qui est déterminante sur ce type d’épreuve. Cela laisse la place aux femmes. Et puis elles ont un super mental et savent faire preuve de résilience, des qualités indispensables au profil de skipper. » Amélie Grassi a 28 ans et a grandi à La Rochelle dans une famille de marins.

Catherine Chabaud ©Thierry Martinez
Catherine Chabaud, skipper de Formatives Network/Classe Rhum Mono
« La course au large est un formidable terrain d’expérience pour la transition »
« Il y a toujours une magie dans la Route du Rhum. Chaque édition a révélé des marins, des histoires formidables. La Route du Rhum incarne le développement de la course au large en France. Avec le Vendée Globe c’est vraiment le Graal pour les skippers ». Catherine Chabaud, 59 ans, a été la première femme à boucler le tour du monde en s…
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