Formé à la mécanique des fluides avant de se lancer dans la tech, Jean-Louis Quéguiner a fondé Gladia pour répondre à un besoin très concret, celui de transformer les enregistrements audio d’entreprise en données exploitables avec précision et dans toutes les langues. À la tête de cette pépite bretonne de l’intelligence artificielle, il s’apprête à rejoindre New York, bien décidé à faire entendre sa voix sur un marché concurrentiel.
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En s’adjugeant une part majoritaire du capital de la maison fondée par le MOF Arnaud Larher, Fauchon, propriété du groupe breton Galapagos, amorce une nouvelle phase de croissance axée sur la relance de son activité historique, la pâtisserie. Il s’agit aussi d’assurer le développement de salons de thé à l’étranger.
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Le groupe Interaction, spécialiste du travail temporaire et du recrutement, annonce l’arrivée de Jérôme Née et Jonas Pluvinage à la tête de sa direction générale. Une nouvelle gouvernance articulée autour de la complémentarité de leurs parcours.
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Jean-Baptiste Gamblin vient d’être nommé directeur général de Digitaleo, entreprise rennaise spécialisée dans la communication digitale locale. Une décision stratégique pour Jocelyn Denis, fondateur et président de l’entreprise, qui confie pour la première fois les rênes opérationnelles, afin de mieux préparer l’avenir.
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Spécialisée dans la collecte et la valorisation des mégots de cigarettes, l’entreprise Cy-Clope poursuit son déploiement en Bretagne en s’appuyant sur de nouveaux partenariats institutionnels et privés, notamment à Rennes et à Saint-Malo (35).
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Invité du Rennes Bretagne Business Club le 23 avril 2025, Jérôme Tréhorel, directeur général des Vieilles Charrues, a notamment détaillé les rouages économiques du plus grand festival de musique de France. Ce dernier évolue sans subvention publique, avec un budget de 22 millions d’euros et l’ambition de maintenir l’accès à la culture pour tous.
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Avec 94 sites de méthanisation déjà opérationnels et un objectif de 30 % de gaz vert d’ici 2030, la Bretagne fait figure de région pilote de la transition énergétique. Pour GRDF, qui anticipe cette bascule, l’enjeu est autant environnemental qu’économique. Il s’agit d’adapter un réseau vieux de quelques décennies aux contraintes d’un mix local et renouvelable.
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Trois ans après sa création, Kenavhome a imposé son modèle d’exploitation de maisons en coliving à Rennes (35). Forte d’un parc de 150 chambres et d’un chiffre d’affaires de 800 000 euros prévu en 2025, la start-up bretonne veut étendre sa formule à d’autres villes pour attirer de nouveaux investisseurs.
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En doublant la capacité de son entrepôt logistique à Saint-Sauveur-des-Landes (35) pour atteindre 36 000 m², le groupe familial Gélin ne cache pas ses ambitions l’année de ses 70 ans. Portée par Julien Gélin, qui représente la troisième génération à la barre, l’entreprise poursuit sa croissance sur un marché bousculé par la concentration des acteurs, la transition énergétique et des marges toujours plus ténues.
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Le groupe coopératif Ressources T, qui coiffe Envie Bretagne, se retrouve dans une situation critique après avoir perdu l’appel d’offres logistique, le 9 avril 2025, lancé par l’éco-organisme Ecosystem. Derrière cette décision qui serait fondée sur le seul critère du prix, ce sont 230 emplois en sursis à Rennes (35) et Brest (29), et un modèle d’économie circulaire qui menace de s’effondrer. L’incompréhension et la colère dominent.
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Née à Rennes (35), la société spécialisée dans la cybersécurité Sekoia.io vient de boucler une levée de fonds de 26 millions d’euros. La start-up souhaite renforcer ses capacités en intelligence artificielle et amplifier son développement hors des frontières de l’Hexagone.
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Alors que 2023 a vu la Banque des Territoires accorder 709 millions d’euros de prêts, 2024 a connu une croissance de 9 % des crédits attribués, à 761 millions d’euros. Ces prêts sur livret A permettent de financer des projets d’infrastructures aussi divers que des logements sociaux, écoles, réseaux d’eau. En avril 2025, la Région Bretagne a par exemple emprunté 32 millions d'euros pour financer en partie l’acquisition de rames de TER électriques.
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