Créée fin 2023 à Rennes (35), la jeune pousse Revalorize propose une alternative à la destruction des produits cosmétiques non conformes aux standards du marché. Son modèle, fondé sur des box à prix cassés et une sélection rigoureuse de marques françaises, conjugue antigaspillage, accessibilité et croissance.
Malgré une activité partiellement stabilisée dans certains secteurs, le premier semestre 2025 révèle une économie bretonne sous tension. Repli des investissements, fragilité des trésoreries et allongement des délais de paiement nourrissent un climat d’incertitude, sur fond de stagnation nationale et de pressions internationales.
Lancée en 2018 par MV Group et Hellowork, l’École 301 à Cesson-Sévigné (35) entre dans le giron d’Evocime, un acteur de la formation professionnelle repris par le groupe Fitec en 2020. Ce rachat s’accompagne de nouveaux cursus et d’une offre promotionnelle pour relancer l’attractivité du campus.
Après dix mois de travaux et 8,5 millions d’euros investis, le casino Barrière de Dinard (35) marie désormais patrimoine et modernité pour conquérir notamment de nouveaux publics. Repensé dans ses moindres détails, l’établissement a inauguré, en février 2025, Le Grand Bain, un restaurant de 55 places aux airs de brasserie chic.
À la tête du restaurant étoilé Le Saint-Placide, à Saint-Malo (35), depuis plus de vingt ans, Luc Mobihan a su bâtir en parallèle une activité artisanale à succès autour d’un dessert emblématique, le baba au rhum. Avec un laboratoire de 500 m², un million d’euros de chiffre d’affaires visé en 2025 et des ventes en plein essor à l’export, Les Babas de Saint-Malo s’imposent dans toutes les bouches.
À la tête du groupe Viabilis, Arnaud Gotreau a noué un partenariat avec Baptiste Hulin, skipper à la barre d’un trimaran de 50 pieds conçu pour la course au large. Doté d’un budget annuel estimé entre 600 000 et 1,2 million d’euros, le projet "Viabilis Océans" entend monter en puissance jusqu’à la Route du Rhum 2026. Arnaud Gotreau et Baptiste Hulin reviennent sur les enjeux humains et financiers de cette épopée marine.
Fondé en 1975, le groupement des Fermiers d’Argoat fête un demi-siècle d’élevage structuré autour de trois filières, la volaille, les œufs et les porcs. L’Organisme de défense et de gestion (ODG) breton fédère 340 éleveurs et 60 entreprises, encadre 17 cahiers des charges Label Rouge et IGP, et distribue ses produits à parts égales entre la boucherie artisanale, la grande distribution et les salaisons. Un modèle rigoureux, mis à l’épreuve par la transformation des usages et le défi du renouvellement générationnel.
Né dans les années 1960 pour valoriser le patrimoine par le camping, le réseau Les Castels écrit un nouveau chapitre. Réduit à une quinzaine d’adresses indépendantes, il mise sur la coopération entre gestionnaires, la fidélité d’une clientèle étrangère et la défense d’un tourisme à taille humaine. L’arrivée récente du Domaine de la Ville Huchet, à Saint-Malo (35), incarne ce positionnement.
Spécialisée dans l’habitat léger, les extensions bois et les aménagements extérieurs, l’entreprise s'appuie sur l’innovation écologique, l’ancrage territorial et un modèle managérial singulier. Avec 21 salariés et un chiffre d’affaires de 2 millions d’euros en 2024, Boisdellys est à l’origine d’un hameau écologique à Montfort-sur-Meu (35).
Du 14 au 18 mai 2025, Rennes a accueilli la 50e édition des Jeux Inter-Organisations des Nations unies. Cet événement international a rassemblé près de 1 300 participants issus de 120 pays et a généré plus de 2,5 millions d’euros de retombées économiques pour la métropole bretonne.
Fondé en 2005 à l’initiative de la filière automobile bretonne, le cluster ID4Mobility a célébré ses 20 ans le 17 juin 2025 au Bâtiment 78, au sud de Rennes (35). Réunissant plus de 500 membres, le pôle couvre désormais dix filières industrielles et pilote chaque année plus de 60 projets d’innovation autour des mobilités terrestres.
À Rennes (35), le deuxième Rendez-vous de la relocalisation a réuni, le 13 juin 2025, des dirigeants d’entreprise, élus et représentants institutionnels avec l’ambition de faire des achats locaux un levier de souveraineté, d’emploi et de transition environnementale. Jusqu’à 10 % des achats seraient relocalisables en France, dont 3 % en Bretagne, pour un impact économique évalué à 5,3 milliards d’euros.
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