Son parcours : Anaïs Prioux est passionnée par le monde de la coiffure, et s’oriente à 15 ans vers un CAP Coiffure. Déterminée, elle obtient à la Faculté des Métiers une mention complémentaire Coupe Couleur Coiffage, un Brevet Professionnel et un Brevet de Maîtrise Coiffure. Des études en apprentissage, qui l’emmène également à Malte pour quelques mois, dans le cadre du programme Erasmus+. À son retour, elle est embauchée comme salariée dans le salon 12e Art à Bruz.
« Le salon a ouvert ses portes en 2017 et Anaïs travaille ici depuis l’ouverture. C’est une femme discrète et à l’écoute », explique Philippe Binard, gérant de ce salon de coiffure.
D’apprentie à entrepreneure
Aujourd’hui, Anaïs Prioux est coiffeuse mais aussi perruquière puisqu’elle a créé en 2019 avec Philippe Binard, l’Atelier de la perruque. « Anaïs m’a parlé de son projet et nous nous sommes associés. Je l’accompagne dans le développement de son entreprise », indique Philippe Binard.
J’interviens à domicile, sur l’ensemble du département, pour respecter l’intimité

Perruques synthétiques
Des perruques pour redonner confiance
La jeune entrepreneure accompagne les femmes ayant subi une perte de cheveux provoquée par une pathologie, en proposant des coiffures adaptées. Un accompagnement qui suit le fil des étapes de la maladie. « Mon objectif premier est de redonner confiance à ces femmes. Pour cela, j’interviens à domicile, sur l’ensemble du département, pour respecter leur intimité », indique Anaïs Prioux. Malgré des débuts difficiles liés à la crise sanitaire, Anaïs Prioux a conseillé plus d’une dizaine de femmes. Elle poursuit le développement de son atelier, avec détermination, pour à terme se consacrer pleinement à cette activité.
Plus d’infos sur : www.latelierdelaperruque.fr