Anozr Way, CT-Square, Defants, FairTrust, Rubycat et Synacktiv ont pu présenter leurs innovations : logiciels dédiés à la cyber-protection des personnes, prestation de diagnostic de cybersécurité et service de SOC managé, outils d’investigation et de réponses aux cyberattaques, solutions pour la sécurisation des comptes utilisateurs, logiciels de gestion et de traçabilité des accès privilégiés et prestations de cybersécurité offensive.
L’entreprise Glimps était également présente sur son propre stand et a d’ailleurs annoncé un partenariat avec un fournisseur de solutions cyber canadien.
Une opportunité pour la filière cyber bretonne
Les entreprises bretonnes ont une carte à jouer sur le marché nord-américain. Certes, en 2022, 40% des 220 milliards de dollars investis dans des solutions et services de cybersécurité dans le monde ont été captés par les Etats-Unis et le Canada (source Statista). Mais la zone a également connu une forte augmentation des cyberattaques, + 60% en un an pour les États-Unis et + 45% pour le Canada. Le marché canadien peine à répondre à la demande en produits et services de cybersécurité en raison d’un manque d’expertise et de main-d’œuvre.
Philippe Luc, CEO d’Anozr Way
« Ce rendez-vous, auquel nous participons pour la deuxième fois, est l’opportunité pour nous de développer des partenariats pour une distribution sur le marché Nord Américain de nos logiciels. Du fait de l’explosion des cas d’usurpation d’identité consécutifs aux fuites de données personnelles des salariés et de la population, le pays fait face à l’urgence d’adopter des solutions pour identifier les personnes concernées et offrir une protection afin d’éviter l’usage criminel de leurs données. En tant que spécialiste de la cyberprotection des personnes, nous constatons le fort intérêt porté, par ce marché, à notre solution qui a fait ses preuves en France. »
Nicolas Plantis, Business Developer chez Bretagne Commerce International
« La proximité culturelle, linguistique et institutionnelle avec le Québec en fait une porte d’entrée évidente vers le marché canadien, l’Ontario notamment, puis vers les États-Unis. Deux types d’entreprises dans la délégation : celles déjà présentes l’an passé venues concrétiser des contacts et celles exposant pour la première fois qui cherchaient des opportunités de développement, un partenaire local, afin d’obtenir de premières références clients. Un tel déplacement donne aussi lieu à des partenariats entre Bretons. Les retours des entreprises sont unanimement bons ; elles souhaitent toutes revenir l’an prochain sur un pavillon commun.»
