Couverture du journal du 30/06/2025 Le nouveau magazine

Le Domaine des Ormes séduit la clientèle locale

Le domaine des Ormes s’étend sur 200 hectares entre Rennes et Saint-Malo. Depuis quatre décennies, ce qui était à l’origine une exploitation familiale est devenu un lieu de villégiature singulier. La diversité des hébergements, le grand nombre d’activités ludiques et depuis peu un espace aquatique coiffé d’un dôme, pour éviter les rares averses qui peuvent survenir en Bretagne, séduisent un nombre croissant de visiteurs, mais aussi d’entreprises venues y faire leur séminaire. Arnaud de La Chesnais, fils des fondateurs et président du directoire, nous a ouvert les portes de son petit paradis.

Arnaud de La Chesnais Domaine des ormes

Arnaud de La Chesnais © Studio Carlito

Nous avons rendez-vous à 16 heures avec Arnaud de La Chesnais pour parler du domaine, de la saison qui bat son plein, des projets aux Ormes, de la crise sanitaire aussi. Après un café à la terrasse d’un des quatre restaurants que contient le resort, le propriétaire des lieux nous propose de venir faire nos premières prises de vues, au dôme.

Le dôme, un investissement de 10 millions d’euros pour assurer une activité 4 saisons

Le dôme est une bulle abritant un espace aqualudique. Il a été construit juste avant la crise sanitaire. C’est la pièce maîtresse du domaine, pensée pour faciliter la fréquentation toute l’année, véritable enjeu pour le développement des Ormes et la pérennisation des 100 salariés employés en CDI. Arrivés au pied du dôme, nous comprenons que notre premier contact avec le domaine se fera… en hauteur. Nous escaladons l’immense coque bleue par une petite échelle en bois et arrivés au sommet, nous découvrons toute la beauté du lieu, à 360°.

Domaine des ormes

© Studio Carlito

De la ferme au resort

Le château, l’étang, l’espace ludique, le golf, les écuries, les différents points de forêts dont on sait qu’ils recèlent des hébergements insolites, atypiques… la vue est grandiose. Dur d’imaginer qu’il y a 45 ans ce n’était que des champs de céréales et des prés pour les vaches laitières. Arnaud de La Chesnais a 10 ans quand ses parents, alors exploitants agricoles, décident en l’espace d’un week-end de changer de vie, convaincus par des amis vendéens que leur domaine est doté d’un énorme potentiel pour attirer les Anglais, très friands de tourisme vert. Ni une ni deux, l’emprunt qu’ils viennent de contracter en vue d’installer des stabulations dernier cri ira finalement à la construction d’un bloc sanitaire et d’une piscine ! 1977, c’est le début de l’aventure avec un premier contrat signé auprès d’un opé…