Nous avons rendez-vous à 16 heures avec Arnaud de La Chesnais pour parler du domaine, de la saison qui bat son plein, des projets aux Ormes, de la crise sanitaire aussi. Après un café à la terrasse d’un des quatre restaurants que contient le resort, le propriétaire des lieux nous propose de venir faire nos premières prises de vues, au dôme.
Le dôme, un investissement de 10 millions d’euros pour assurer une activité 4 saisons
Le dôme est une bulle abritant un espace aqualudique. Il a été construit juste avant la crise sanitaire. C’est la pièce maîtresse du domaine, pensée pour faciliter la fréquentation toute l’année, véritable enjeu pour le développement des Ormes et la pérennisation des 100 salariés employés en CDI. Arrivés au pied du dôme, nous comprenons que notre premier contact avec le domaine se fera… en hauteur. Nous escaladons l’immense coque bleue par une petite échelle en bois et arrivés au sommet, nous découvrons toute la beauté du lieu, à 360°.

© Studio Carlito
De la ferme au resort
Le château, l’étang, l’espace ludique, le golf, les écuries, les différents points de forêts dont on sait qu’ils recèlent des hébergements insolites, atypiques… la vue est grandiose. Dur d’imaginer qu’il y a 45 ans ce n’était que des champs de céréales et des prés pour les vaches laitières. Arnaud de La Chesnais a 10 ans quand ses parents, alors exploitants agricoles, décident en l’espace d’un week-end de changer de vie, convaincus par des amis vendéens que leur domaine est doté d’un énorme potentiel pour attirer les Anglais, très friands de tourisme vert. Ni une ni deux, l’emprunt qu’ils viennent de contracter en vue d’installer des stabulations dernier cri ira finalement à la construction d’un bloc sanitaire et d’une piscine ! 1977, c’est le début de l’aventure avec un premier contrat signé auprès d’un opé…