Multiple champion du monde de stand-up paddle surf, Benoît Carpentier partage sa vie entre compétitions, création de contenus digitaux et son école de glisse dans le Finistère. Rencontre avec un rider qui a fait de sa passion un véritable moteur économique.
Sport & Business
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Le duo de navigateurs malouins Nils Boyer et Franck Lavenant vient de décrocher une troisième place lors de la Rolex Fastnet Race, en catégorie IRC4. Une nouvelle distinction qui s’ajoute à une saison déjà jalonnée de victoires et qui confirme une trajectoire ascendante.
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Dans la roue de la Grande Boucle, l’édition féminine du Tour de France a été relancée en 2022 par Amaury Sport Organisation (ASO). Pour sa quatrième édition, le Tour des femmes est parti de Vannes (56) le 26 juillet 2025, confirmant le nouvel essor du cyclisme féminin. Budget, organisation, médias, sponsors : « On est sur le modèle du Tour masculin et on est maintenant à l’équilibre », confie Pierre-Yves Thouault, directeur adjoint cyclisme chez ASO.
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SPORT & BUSINESS. Viabilis Océans : « Le modèle économique de notre sport repose sur le sponsoring »
À la tête du groupe Viabilis, Arnaud Gotreau a noué un partenariat avec Baptiste Hulin, skipper à la barre d’un trimaran de 50 pieds conçu pour la course au large. Doté d’un budget annuel estimé entre 600 000 et 1,2 million d’euros, le projet "Viabilis Océans" entend monter en puissance jusqu’à la Route du Rhum 2026. Arnaud Gotreau et Baptiste Hulin reviennent sur les enjeux humains et financiers de cette épopée marine.
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Il y a presque trente ans, le football gaélique faisait son apparition sur le sol breton. Un mélange de football, de rugby et de handball qui a su préserver son image populaire et son ancrage local. Loin des aspirations professionnelles des disciplines dont il s'inspire, le football gaélique a construit un modèle économique qui montre parfois ses limites. Mathieu Rivoallan, président de la Ligue de Bretagne de football gaélique, espère assurer la pérennité de la discipline, à commencer par sa reconnaissance par le ministère des Sports.
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Le trail running est devenu le sport à la mode. Les courses se multiplient et affichent complet en seulement quelques minutes. La Bretagne n'est pas dépourvue : le Glazig (22), l'Urban Trail (35), l'Ultra-Marin (56)… plusieurs courses de renommée se déroulent chaque année dans la région. Les retombées économiques sont certaines, mais quel accompagnement est fourni aux organisations par les municipalités pour accroître cet élan ? Entre volonté de développement et impératifs financiers ou administratifs les villes se retrouvent parfois entre deux eaux.
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En pleine ascension sportive, le XV Corsaire de Saint-Malo (35) mise sur une organisation rigoureuse et un ancrage local fort pour structurer son avenir. Lucas Jourdon, responsable des relations partenaires, détaille le modèle économique du club et ses ambitions à l’horizon 2028.
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En se fixant pour objectif de stabiliser le Club de rugby du pays de Lorient (RUPL) en Fédérale 3 - équivalent de la « sixième » division - les trois dirigeants, Sabine Guerlais, présidente, Christian Courtès et Philippe Poulossier, co-présidents, ont redéfini un projet de club tant au niveau sportif que financier. Un essai en passe d’être transformé.
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Avec une montée en puissance régulière depuis sa reprise en 2009, l’Open 35 de Saint-Malo (35) s’est imposé sur le circuit WTA 125. Pour assurer son avenir, l’enjeu est désormais financier : trouver un partenaire titre afin de pérenniser l’événement et poursuivre son développement. Défis budgétaires, attractivité sportive et engagement sociétal : Thierry Cardona Gil et Baptiste Guermeur, les organisateurs, dévoilent leur stratégie.
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La Ligue de Bretagne de Handball doit faire face à la chute des subventions publiques, l’obligeant à redéfinir son modèle économique. Pour y parvenir, elle lance une agence d’événementiel et de marketing sportif coopérative.
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Sous la présidence d’Olivier Boissou, le Pays Auray Rugby Club (Parc) atteint, cette saison, la Fédérale 2, le niveau le plus élevé de son histoire depuis sa création en 1972. Derrière cette ascension sportive, se logent des enjeux économiques. Le club morbihannais doit augmenter son budget annuel de plus de 35 % pour couvrir les nouvelles exigences de ce championnat.
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Plus connu sous le surnom des Irréductibles de Cesson-Sévigné, le Cesson Rennes Métropole Handball, acteur de la première division française, amorce une nouvelle phase de son développement économique. Pour viser le haut du tableau, le club a décidé de lancer une deuxième ouverture de capital, dont le bouclage est prévu pour juin 2025. Cette initiative, portée par Stéphane Clémenceau, président du club depuis dix-huit ans, vise à lever 350 000 euros, soit 10 % du budget de fonctionnement annuel actuel.
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