Née à rennes il y a 12 ans, Hoppen a multiplié son chiffre d’affaires par 15 en quatre ans (60 millions d'euros en 2023). Proposant des solutions et services d'accompagnement connectés pour les patients et personnes en perte d'autonomie, l’entreprise est présente auprès de 6 millions de patients chaque année, soit 1 patient sur 2 en France, mais aussi en Suisse ou encore au Qatar. Entretien avec Matthieu Mallédant, PDG et cofondateur de la société, aujourd’hui installée dans la « Silicon Valley » rennaise.
Grand Format
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63 millions de chiffre d’affaires et jusqu’à 650 employés en été, la belle-iloise fait partie des belles histoires entrepreneuriales et familiales bretonnes. Rencontre avec Caroline Hilliet Le Branchu la PDG de cette Entreprise de taille intermédiaire (ETI).
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Rencontre avec Daniel, Céline et Arnaud Jeulin, à la tête du groupe éponyme, dont le siège est basé à Saint-Grégoire (35), autour de leurs activités : immobilier, loisirs, hôtellerie, événementiel sportif.
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Site industriel à la pointe de la technologie, standards pharmaceutiques, Javené (35), près de Fougères, héberge une pépite de l’industrie bretonne. Spécialisée dans la production de biopolymères* innovants, HTL Biotechnology est le leader mondial de la production d’acide hyaluronique de grade pharmaceutique, sous forme de fibre. Son chiffre d’affaires a triplé en 10 ans, atteignant les 100 millions d’euros en 2022. Les clients sont de grands laboratoires qui l’utilisent comme matière première de solutions injectables. HTL réalise 85% de son activité à l’international. Médecine esthétique, rhumatologie, ophtalmologie, les aires thérapeutiques sont diverses et la liste devrait s’enrichir dans les années à venir. Rencontre avec François Fournier, président d’HTL.
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Basée à Romagné, près de Fougères, la Maison Tirot (77 ans d’existence) est le dernier atelier en France à fabriquer des bateaux-jouets en bois. Elle était invitée à l’Élysée début juillet, à l’occasion du salon Fabriqué en France. Près de 15 000 navires sortent chaque année de l’atelier bretillien, et l’objectif est de doubler la production d’ici 3 ans, sous l’impulsion du repreneur et nouveau dirigeant, Augustin Hubert.
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Si les titans du secteur en Bretagne se comptent sur les doigts d’une main, la région abrite une myriade de petites maisons d’édition. 118 éditeurs sont recensés à l’échelle du territoire. Un nombre qui pourrait encore croître au vu du dynamisme de la filière. Dans un domaine très concurrentiel, diversifier son modèle économique semble être primordial. Abonnements, structures coopératives, redéfinition du lien avec les auteurs, image de marque, médiation…les clefs de la réussite sont variées.
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Alors que de nombreuses nouvelles maisons d’éditions ont éclos un peu partout en Bretagne, une structure permet de maintenir le lien dans ce réseau. Marie-Cécile Grimault, chargée de l’économie du livre pour l’association Livre et lecture en Bretagne, évoque ce « travail de fourmis ».
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En marge des grandes maisons d'édition, des passionnés se sont lancés dans l'aventure de l’édition indépendante. Ces artisans du livre ont tous un point commun : une passion pour leur métier et l’envie de faire bouger les lignes de la filière. Rencontre avec 4 éditeurs bretilliens.
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Première édition universitaire publique de France, les Presses universitaires de Rennes (PUR) ont publié 208 ouvrages en 2022. Le comité éditorial est constitué de 11 universités*, réunies au sein d'un service d'activités industrielles et commerciales (SAIC), faisant la singularité de cette maison d’édition. Trois questions à son directeur, Pierre-Henry Frangne.
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Pour l'éditeur Yannick Auffray, la création d'une maison d'édition sur l'île de Groix, l'une des 15 îles du Ponant, ne soulève aucune question particulière. Le créateur de Groix Éditions estime même que cette localisation joue en sa faveur.
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Malgré une place de choix dans le microcosme des maisons d’édition bretonnes, les Éditions Ouest-France, anciennement Édilarge, doivent évoluer pour maintenir leur position. La structure a opté pour un rapprochement assumé avec le groupe Ouest-France. Trois questions à Vincent Lorant, dirigeant de Ouest-France Éditions.
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Patrick Arnal, fondateur de Memento Temporï, passe son temps entouré de chefs-d’œuvre. Dans son atelier de Bazouges-la-Pérouse, l’artisan façonne des reproductions en terre cuite de pièces archéologiques pour le compte de prestigieux musées tels que le Louvre ou le British Museum, mais également pour des collectionneurs et des artistes contemporains. Rencontre avec un artisan hors du commun, qui se frotte à ce que l’art fait de plus beau et à ce que la gestion d’une entreprise d’artisanat a de complexe.
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